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Paris à vos pieds

Mercure Découvertes Locales

Le quartier du mythe
Hôtel Mercure Paris 9 Pigalle Sacré-Coeur

Montmartre, c’est le quartier mythique de Paris. Celui qui a inspiré les plus grands. Sa réputation sulfureuse détonne avec le charme pittoresque de ce village perché sur sa butte, qui regarde Paris de haut. De ses bars animés à la quiétude de son cimetière, où reposent Dalida, Truffaut et Zola, il n’est pas à un paradoxe près. Pour s’imprégner de cette ambiance pas comme les autres, direction l’hôtel Mercure Paris Pigalle qui, dans une déco hommage au quartier, offre tout le confort nécessaire à un repos bien mérité… et une vue à couper le souffle sur le Sacré-Cœur. Certains clichés ont du bon.

Mercure Découvertes Locales

Un hôtel pour mélomanes
Les plaisirs du coin

Intrinsèquement liée à l’histoire de Pigalle, la musique a donné le tempo de la déco de l’hôtel, avec des affiches de musiciens placardées sur les murs. Dans les chambres, les têtes de lit et les parois de douche sont inspirées des vitraux Hokusaï de la Villa Frochot, non loin de là, mais aussi de la statue Mercure attachant ses talonnières réalisée par Jean-Baptiste Pigalle (1744), aujourd’hui exposée au Louvre, ou encore de la station de métro Pigalle dont l’iconographie est reprise comme élément décoratif. Côté palais, on déguste ici du miel et du jambon de Paris, du brie de Meaux, et même de la limonade locale !

Mercure Découvertes Locales

Esprit es-tu là ?
La petite histoire

À première vue, l’avenue Frochot, à Pigalle, a tout du cadre bucolique. Cette impasse fermée, visible seulement à travers une grille (au 24, rue Victor Massé), aligne les demeures cossues dans lesquelles ont résidé Toulouse-Lautrec, Renoir ou Degas. Derrière cette apparente sérénité bruisse pourtant une terrible rumeur. Au numéro un de la voie se dresse un manoir que l’on dit hanté depuis qu’y fut perpétré, au début du XXe siècle, l’assassinat d’une femme de chambre. Chuchotements nocturnes et craquements sourds auraient fait fuir les propriétaires successifs qui ont, pour la plupart, brutalement plié bagages. Finalement, on est mieux derrière la grille.

Crédit photo : Lola Delabays
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