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Aux portes des Alpes

Mercure Découvertes Locales

Chez les ducs de Savoie
Hôtel Mercure Chambéry Centre

Porte vers les sommets des Alpes, Chambéry fut longtemps la demeure des comtes, puis ducs, de Savoie et on comprend pourquoi ! Outre le charme indéniable de sa vieille ville où on peut admirer leur château du Moyen-Âge, ses alentours sont un immense terrain de jeu pour les amoureux de la nature. En quelques minutes vous êtes au lac du Bourget ou dans les réserves naturelles de Chartreuse et de Vanoise. Mais avant de partir en exploration dans la ville où se rencontrèrent Jean-Jacques Rousseau et la fameuse Mme de Warens, son premier amour, vous posez vos valises dans le confort de l’hôtel Mercure Chambéry Centre, voisin de la gare et des boutiques.

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L’effort et le réconfort
Les plaisirs du coin

S’il y a deux passions qu’on fait cohabiter avec délice dans cet hôtel, ce sont celles du sport et de la bonne bouffe. L’ambiance chaleureuse du chalet en bois, avec télésiège à l’entrée, de cet hôtel construit pour les JO d’Albertville, vous rappelle que vous êtes sur la route des pistes de ski. Après une balade en vélo que vous pouvez laisser en toute sûreté à l’hôtel, vous ne manquez pas de goûter aux produits locaux issus de chez les producteurs du coin : reblochon, fourme, beaufort, tomme de savoie, saucisson sec au beaufort, noix de jambon artisanale pour la faim, chartreuse, genépi et la bière du mont Blanc, la bière locale fabriquée avec l’eau des glaciers du Mont-Blanc, pour la soif.

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L’eau sous la montagne
La petite histoire

Lorsqu’on parle de Chambéry, on pense rarement aux cours d’eau, alors que la ville est traversée par trois rivières : la Leysse, l’Albanne et l’Hyères. Le sol étant très marécageux, le centre ancien a dû être construit sur des pilotis de mélèze… dont 30 000 rien que pour soutenir la cathédrale Saint-François-de-Sales ! Mais qui dit marécage dit écrevisses. Voilà plusieurs siècles, il paraît qu’elles abondaient tant et si bien qu’elles auraient, selon certains, donné à Chambéry son nom. Les latinistes n’ignorent pas en effet qu’écrevisse se dit « Camberium » dans la langue de César. Légende urbaine ou pas, plusieurs recettes chambériennes sont faites à base de ces crustacés.

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